Souvent, je me suis opposé à des idées souvent véhiculées. Et ce depuis ma petite enfance. Je me rappelle d'une époque où je jouais les justiciers prônant la maxime: «Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu'on te fasse» je le faisais d'une manière simpliste en défendant le martyrisé de la maternelle pensant que cela devait être nécessaire. Plus tard cette maxime je l'ai entendu dans la bouche de mon directeur d'école et du jour au lendemain tous les élèves l'ont élevé en vérité sans pour autant l'appliquer de la manière dont je la voyais. C'est juste devenu un instrument d'intérêt personnel, on utilisait cette maxime pour se défendre.

Tout ce que nous établissons comme savoir raisonnable est limité par ce que nous refusons de faire sujet de la raison, par nécessite ou impossibilité. Dans un système de pensé où la vérité, émanant de la raison, est bénéfique et où ce qui n'a pas de fondement raisonnable ne l'est pas nous établissons un système de valeur dichotomique où les choses que nous admettons sans base raisonnable est «pêché». Néanmoins on observe que toute réflexion raisonnable allant à l'encontre de ces axiomes/préjugés est considéré comme un errement de la raison et est fortement combattu au sacrifice même de la vérité; en somme le sacrifice au dieu au nom du dieu...

Bader. Cette personne possède un bac S. Mais tient des propos toujours philosophiques! Je ne comprends pas, et je lui ai déjà expliqué. Or, s'il mettait ça dans une dissert', il ferait un malheur.
Etes vous surs d'être ce que croyez être ? Vous êtes geeks ? Vous aimez les ordinateurs ? Et bien en réalité vous êtes humanistes.
Je rit quand je vois "ce matin en td de physique" !!!. Ce sont des pensées d'ordre philosophique ! Surveillez tous le caractère contradictoire de vos paroles...
"Je est un autre" ....

Refuser les autres comme individu c'est établir les autres comme un système avec lequel jouer pour arriver à ses fins et donc affaiblir la raison. Plus le système est utilisé moins il se base sur la raison car il va dans des sens d'intérêts individuels alors que la raison est neutre ce qui entraîne à son tour une culpabilité de la société et donc de tout individu lui appartenant etc.

L'homme naît bon, la société le force à expier ses propres crimes. Elle rejette ainsi sa responsabilité sur l'individu et plus la société se rends coupable de lèse-raison moins l'individu est libre et plus il est obligé devant lui même. S'opposer à ce phénomène n'es pas créer de nouveaux crimes en attribuant la responsabilité à d'autres individualités ce qui pourtant est la rébellion pour la plupart des individus. Déculpabiliser l'individu et éduquer la société est la solution inverse. Punir la société n'a pas de sens car cela revient à transférer toutes ses responsabilités à l'individu qui lui est punit. L'individu réellement coupable est celui qui se rends complice de l'infantilisation de la société par son acceptation d'une culpabilité commune et la sienne.

Ce qui doit nécessairement pouvoir être c'est une évidence ou plutôt une très forte volonté de l'esprit ! Mais quand ce devoir est créé de toute pièce par l'esprit la possibilité d'existence n'est pas évidente mais en devoir d'évidence.

Peu importe le temps, ce qui importe est la perception du temps et celle-ci dépends de ce que nous savons de l'avenir. Plus il y a d'éléments connus moins le nombre d'éléments nouveaux à vivre est grand d'où l'impression d'un écoulement de temps ralenti.